E-mailing, un monde sauvage (épisode 1)

Certes payer pour ne plus utiliser un boite email pendant 12 ans, c’est loin d’être une excellente idée mais continuer à adresser cette boite c’est pire !

Il se trouve qu’après avoir brièvement utilisé cette adresse mail à titre privé, j’ai basculé rapidement sur la messagerie d’ITL. Puis, je l’ai oubliée. Oui carrément oubliée, ignorée, snobée quoi. Jusqu’au 22 septembre de cette année où, en mettant un peu d’ordre dans mes abonnements divers et variés, je décide de l’ouvrir, non sans une certaine appréhension !

39001 emails non lus…et pour cause, je ne l’avais plus utilisée depuis le 14 février 2009 ! Bon, en 2009 le RGPD n’imposait pas encore un droit à l’oubli au bout de 3 ans. Mais quand même…Le bon sens du marketing direct qui place la récence comme le critère premier de tout ciblage semble être une notion totalement ignorée par les opérateurs qui se sont donnés à cœur joie pour inonder cette boite sans même se préoccuper ni de son propriétaire, ni de son activité sur la toile.

le bon sens du marketing direct place la récence comme critère premier de tout ciblage

En ces temps de grand-messe autour de l’email lors des #emadays qui se sont tenus la semaine passée, j’ai trouvé utile de vous partager ces quelques images qui parlent d’elles-mêmes :

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